Dans quelle mesure le service marketing & UX design peuvent-ils se compléter pour répondre aux besoins utilisateurs ?

 

 

 

Pauline Lopes, UX Designer

Formation : Certification UX Design 2018 – Les Gobelins, l’école de l’image

Durée du mémoire : 3 mois

Contact : lopespauline@gmail.com

Pitch :
Les équipes d’UX design sont les porte-paroles des utilisateurs et les équipes stratégiques/business défendent les intérêts des décisionnaires de l’entreprise. Pourquoi cette distinction existe-t-elle, alors que ces entités ont pour mission de satisfaire l’utilisateur-client ?

Les UX designers demandent à être informés des enjeux business de l’entreprise afin d’orienter précisément leur réflexion. D’autre part, les équipes de stratégie marketing ont besoin de justifications chiffrées afin de mesurer l’efficacité de l’expérience client. Pourtant, un échange régulier entre ces deux services complémentaires permettrait in fine de mieux servir le client et d’améliorer le profit de l’entreprise.

Alors comment le pôle marketing et design UX peuvent-ils se coordonner pour mieux répondre aux besoins utilisateurs alors qu’ils exercent leur activité de façon séparée ?

Data Driven UX, Full Stack Designer, CX… Ces nouveaux profils permettent notamment d’observer l’évolution du rôle de l’UX designer. C’est une extension du métier afin de répondre précisément aux besoins des sociétés. Car mesurer l’impact de la démarche UX design devient primordial pour tout manager, garants de la stratégie menée par l’entreprise.

Les UX designers peuvent mesurer à l’aide d’outils simples, l’impact de leur expertise avant/après leur intervention sur un produit. Sans compter que cette démarche valorisera le fruit de leur travail devant les équipes marketing, qui ne demandent qu’à être convaincues de leurs actions. L’UX designer a de nouveaux défis à atteindre, ceux de bien connaître la marque, ses produits et ses clients.

Les équipes marketing pourront s’organiser, à la manière d’un workshop, afin de transmettre aux UX designers les éléments essentiels de la stratégie de l’entreprise. Il s’agit de déterminer régulièrement les objectifs à atteindre et comprendre ensemble les insights des utilisateurs afin de les traduire en innovation produit.

Par ailleurs, il est essentiel pour les décisionnaires, de prendre conscience que l’UX design fait partie dorénavant du processus business de l’entreprise. Le pôle design commence à devenir en France un vecteur de développement stratégique.

En parallèle, de nouvelles innovations technologiques permettront de cerner de plus en plus les émotions des utilisateurs. La stratégie business, marketing et design de l’entreprise tireront parti de ces inventions techniques pour répondre aux attentes des utilisateurs. Progressivement, ce sont les clients qui guident les enjeux business de l’entreprise, et non l’inverse.

Comment la data permet de construire une expérience utilisateur enrichie ?

 

 

Maxime Rondeau, UX Designer / Marketing digital

Formation : DDPUX 2018 (Master 2) – Les Gobelins, l’école de l’image

Contact : maxime.rondeau@edu.gobelins.fr

Durée du projet : 3 mois

Pitch : Mémoire professionnel de fin d’année

Ce projet a été réalisé dans le cadre du mémoire professionnel de fin d’année du Master Directeur de Projet Digital UX Design 2018. Il s’est notamment appuyé sur mon expérience passée au sein de l’entreprise La Relève*.

*La Relève est un cabinet de recrutement spécialisé pour les étudiants et jeunes diplômés.

L’utilisation des données servait déjà à l’amélioration des produits et des services. Cela a profondément changé la vision des entreprises en entrant dans une ère Data-Driven. Les choix ne sont plus jamais fait au hasard, mais bien guidés par des faits.

Aujourd’hui les expériences des sites web et applications vont encore plus loin en étant enrichie par les données. Les GAFAM & NATU, maîtres de la data nous montrent le chemin vers des expériences de plus en plus personnalisées.

J’ai souhaité montrer l’importance de la collaboration entre l’UX Designer et d’autres métiers comme le Data Analyst ou le Marketing ainsi que l’impact des données sur la chronologie et les méthodologies des projets.

Comment mettre en place un design system dans une petite entreprise multiproduits ?

pauline girardin ux designer

 

Pauline Girardin, Graphiste – UX Designer

Formation: DPDUX 2018 (Master 2) – Les Gobelins, l’école de l’image
Contact: pauline-m.girardin@laposte.net
Durée du projet: 2 mois

Pitch: Mémoire professionnel de fin d’année

Ce projet a été réalisé dans le cadre du mémoire professionnel de fin d’année du Master Directeur de Projet Digital UX Design 2018. Il s’est notamment appuyé sur mon expérience passée au sein de l’entreprise Edelia Groupe EDF afin de répondre à une problématique spécifique: la mise en place d’un design system. La recherche se base principalement sur des apports théoriques ainsi que sur observations au sein des équipes et des entretiens externes de professionnels.

Si Edelia est une filiale d’EDF, EDF est aussi son principal client. Edelia embauche près de 160 collaborateurs pour répondre à leur demande, dont 3 designers qui travaillent sur des projets en transverse pour 7 Features Team, responsables du développement des fonctionnalités et de la relation client.
Début 2018, un constat est apparu : «pour innover à l’extérieur, il faut innover à l’intérieur» – Sonia Machalica, responsable du Pôle Expérience et Engagement Client. Pour cela elle nous a demandé de réfléchir à «l’application d’une nouvelle méthode de travail au sein du pôle UX, qui a un impact sur les échanges avec les autres pôles.»
Au regard des problématiques identifiées, une question s’est donc posée : comment améliorer notre processus de travail afin de produire plus efficacement et plus qualitativement nos produits ?
Le choix : un design system.
Mais comment mettre en place un Design System pérenne chez Edelia ? Quelles étapes et quelle vision finale ?

A travers ce mémoire, j’interroge la manière de construire un design system, l’importance d’aller regarder à l’extérieur et l’importance de se poser les bonnes questions. Tout au long du mémoire, on comprend qu’un design system, même si il est en vogue, ne convient pas à tout le monde et n’est pas aussi développé pour toutes les entreprises selon les besoins. Les différentes recherches et les entretiens externes ont amené à repenser la solution : un design system est-il vraiment la bonne solution pour Edelia ?

Comment organiser une équipe design au sein d’une startup en hypercroissance ?

DPDDM

Jean-Francois Phaner, UX designer

Formation: DPDUX 2018 (Master 2) – Les Gobelins, l’école de l’image
Contact: jfphaner@gmail.com
Durée du projet: 3 mois

Pitch: Mémoire professionnel de fin d’année

Ce mémoire a été réalisé dans le cadre du Master Directeur de Projet Digital UX manager 2018. Il s’est notamment appuyé sur mon expérience au sein de la startup Visioglobe de 2013 à 2018 en tant que lead designer et surtout sur mon stage de fin d’études de 6 mois à Wynd en 2018. La recherche se base sur la théorie du design management, des observations et des entretiens.

Intégrer une équipe de design au sein d’une entreprise en pleine hyper croissance est un challenge sur de nombreux plans. Vivre une réorganisation d’ampleur telle que la mise en place d’une organisation Large Scale Agile en même temps que de prendre son poste en tant que designer UX dans un environnement en état de réorganisation constante s’avère être en fait un moment d’opportunités et d’expérimentations.

Nous verrons à travers ce mémoire une mise en contexte de mon parcours et de l’entreprise Wynd, certains ponts entre la méthodologie Large Scale Agile et le management UX, les avantages et inconvénients d’un tel environnement et les défis de la réorganisation d’une équipe design lors d’une croissance d’entreprise d’une telle ampleur.

Publicité et UX Design, entre l’utile et l’éthique

 

Kelly Vauquelin, Chef de projet – UX Designer

Formation: DPDUX 2018 (Master 2) – Les Gobelins, l’école de l’image
Contact: kelly.vauquelin@gmail.com
Durée du projet: 3 mois

Pitch: Mémoire professionnel de fin d’année

Ce projet a été réalisé dans le cadre du mémoire professionnel de fin d’année du Master Directeur de Projet Digital UX Design 2018. Il s’est notamment appuyé sur mon expérience passée au sein de la régie publicitaire Lagardère afin de répondre à une problématique plus grande: Publicité et UX Design, entre l’utile et l’éthique. La recherche se base principalement sur des apports théoriques ainsi que sur des recherches expérimentales (entretiens professionnels et tests utilisateurs).

La Publicité doit se renouveler, c’est un fait. Aujourd’hui, la Publicité est de moins en moins acceptée par les gens. Si elle tend à harmoniser notre société actuelle en créant des besoins autour de ces produits et services, la Publicité semble devenir encore plus intrusive et encore moins intégrée qu’auparavant.

L’UX Design, de par son essence a pour objectif d’améliorer l’expérience utilisateur d’un produit ou d’un service. En ce sens, l’UX Design pourrait être un levier évident à l’évolution du domaine publicitaire. Mais à l’inverse, cet état d’esprit centré humain peut s’avérer être opposé à la Publicité alors centrée client et cherchant à vendree un produit ou un service. 

Au travers de ce sujet, l’idée est de comprendre les points de similitudes et de divergences entre ces deux domaines afin de vérifier l’utilité de l’UX Design dans la Publicité et de se questionner sur l’aspect éthique de son usage dans ce domaine.

Comment intégrer l’UX designer dans un projet Agile – Scrum ?

 

 

 

Auteur : Sylvain Ponçon (UX Designer)
Formation : Certification UX Design 2018 – Les Gobelins, l’école de l’image
Durée du mémoire : 3 mois
Dossier : UX2018_mémoire_PONÇON_Sylvain

Contact : sylvainponcon@gmail.com

Pitch : Les entreprises tentent de s’adapter aux révolutions numériques à raison de grands plans stratégiques qui allient transformation digitale et satisfaction client. Les méthodes de développement des projets numériques changent elles aussi. L’approche agile – scrum est devenue la norme. Son motto : livrer plus rapidement un produit qui apporte de la valeur aux utilisateurs. Mais cela ne suffit pas car comme le dit sagement l’adage : « rien ne sert de courir, il faut partir à point » !

L’UX design propose de se concentrer sur les utilisateurs. D’où son nom : design de l’expérience utilisateur. Sa vocation, inclure les utilisateurs dans le processus de conception du produit afin de vérifier qu’il réponde et soit adapté à leur besoin avant de se lancer dans des développements complexes et coûteux.

L’union de ces deux approches, scrum et UX design, semble évidente. Preuve en est, l’augmentation constante de la présence remarquée des UX designers au sein des projets scrum. Il n’en reste pas moins que rien n’est prévu par le guide scrum et ses règles pour intégrer l’UX designer. C’est un réel challenge auquel sont confrontés les équipes scrum et les UX designers. Comment travailler ensemble ? Comment sprinter côte à côte ? Peu voire pas de littérature traite de cet aspect. Nous sommes donc allés sur le terrain pour voir ce qu’il en est.

L’ambition de ce document est d’apporter un éclairage sur les défis et les bonnes pratiques de cette union qui peut se voir à travers deux enjeux majeurs. Le premier concerne la place de l’UX designer dans l’équipe scrum et le second aborde la façon dont il peut réaliser les travaux liés à l’expérience utilisateur dans un cadre de projet structuré par scrum.

Comment bannir le systématisme des réunions dans les grandes organisations et créer des expériences de co-construction en intégrant les besoins humains ?

Équipe : Nour KHUJA, Designer de Service

Formation : DPDUX 2018 (Master 2) – Les Gobelins, l’école de l’image
Durée du projet : 8 mois

Contact : nour.khuja@edu.gobelins.fr

Pitch :

Avez-vous déjà entendu parler de la réunionite ?

C’est ce dont souffre un nombre incalculable de salariés dans les entreprises. Pourtant essentielle, la réunion c’est un peu comme un « Je t’aime – Moi non plus » au travail. Alors que si elles sont bien menées, elles peuvent s’avérer être d’une efficacité redoutable ! Il suffit simplement d’un peu de bon sens et surtout de communication et d’un zeste d’UX Design pour que la réunion devienne une expérience intéressante et enrichissante à vivre.

C’est ce que j’ai essayé de prouver au sein de la Société Générale lors de mon alternance par le biais d’un projet dont j’ai eu l’idée : hit !

J’y ai passé environ 8 mois pour pouvoir prouver à mes collègues que la réunion peut être un moment fun où l’on produit de belles choses plutôt qu’une perte de temps.

Ce mémoire est donc une lettre ouverte à la réunionite, qui s’est un peu trop installée confortablement au 35ème étage de la tour Granite.

PS : Elle a fini par commencer à faire ses valises !

 

Startup et Product-market fit : les méthodologies sont-elles réellement adaptées à toutes les startups ?

Équipe : Sarah Farnault, UX Designer
Formation : DPDUX 2018 (Master 2) – Les Gobelins, l’école de l’image
Durée du projet : 3 mois

Contact : hello@sarahfarnault.com | www.sarahfarnault.com

Dossier : (en attente de confirmation des personnes / entreprises interviewées)

Pitch :

Le succès d’une startup dépend de sa capacité à proposer un produit qui répond à un marché : le fameux product-market fit. Ce challenge n’est pas si simple lorsqu’on crée une entreprise à partir d’un concept ou d’une technologie innovante. Pourtant, c’est bien le prérequis indispensable pour convaincre des investisseurs lors d’une première levée de fonds. Ce premier tour de table signe le succès de la phase d’amorçage des startups.

Le Lean Startup et les méthodologies centrées utilisateurs comme le Design Thinking, et le Lean UX permettent d’accélérer la validation du product-market fit. Cependant, les co-fondateurs détiennent rarement ces expertises et le recours à des prestations extérieures sont souvent inadaptées en phase d’amorçage.

Ce mémoire entend apporter des clés de compréhension des challenges et des contraintes des startups et propose des solutions pour permettre aux startups en amorçage d’atteindre le product-market fit en prenant en compte leurs contraintes.

 

 

Comment réussir un produit user centric dans une organisation à contraintes importantes ?

 

 

 

Auteur : Julien PIVIN: UI / UX Designer
Formation : MC11 2018, Certification UX Design – Les Gobelins, l’école de l’image
Durée du mémoire : 4 mois
Dossier : UX2018_memoire_Julien_PIVIN

Pitch : Depuis plusieurs années maintenant, la conception centrée utilisateur fait parler d’elle. Les formations en UX design abordent les méthodes de conception centrées utilisateurs, les différents types de recherche.

Mais en pratique, comment cela se passe-t- il en dehors des agences UX, dans les grosses structures frileuses de changements et qui souhaitent amorcer un virage vers l’UX ? Comment la transformation s’opère-t-elle chez les fournisseurs de software ?

Ce mémoire tente d’analyser les freins et les accélérateurs à la conception centrée utilisateur, dans le but de réussir un produit dans une grosse entité organisationnelle..

Il semble que nous ayons du retard à rattraper par rapport à certains grands acteurs du marché digital mais certaines entreprises françaises commencent à s’organiser pour s’approprier ces méthodes.

Atouts et limites de l’UX Design pour exposer à un courant musical complexe

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Auteur : Juliette Delaporte – Chef de projet Éditorial, Conceptrice-rédactrice et UX Designer
Formation : MC11 2018, Certification UX Design – Les Gobelins, l’école de l’image
Durée du mémoire : 2 mois

Contact : juliette.delaporte@gmail.com

Pitch :                                                                                                                                                     Afin de respecter le souhait de confidentialité de mon commanditaire, certains éléments ont été modifiés, comme son nom et son lieu de résidence.

Atouts et limites de la démarche centrée utilisateurs pour exposer à un courant musical complexe                                                                                                       

Cas pratique d’un ensemble de musique contemporaine subventionné par l’état : l’Orchestre de musique contemporaine

J’ai découvert la démarche centrée utilisateurs lors de la formation « Conduite des projets digitaux » des Gobelins en 2016. Un coup de foudre, une révélation. Impossible de continuer sans. Les prochains projets numériques que je mènerai, seront UX ou ne seront pas.

Mon cheval de Troie pour introduire l’UX Design, la refonte du site de l’Orchestre de musique contemporaine (OCX), un orchestre constitué de 21 solistes virtuoses, résidant à la Grande Scène Philharmonique belge. Leur musique : le courant de la musique contemporaine.

L’idée :

Aller au-delà de l’actionnable de la refonte du site et créer, plus loin, des dispositifs facilitant l’accès à la musique contemporaine.

Qu’est-ce que la musique contemporaine ?

Une musique qui  se serait construite avec et contre la musique classique, mobilisant la formation orchestre de manière nouvelle, engendrant des sons, des musiques inhabituelles, qui « peuvent » dérouter l’auditeur non initié.

Le problème d’origine :

Le public de la musique contemporaine est vieillissant. Il ne se renouvelle pas.

La problématique « définie » suite à la recherche secondaire et à l’idéation : 

Comment exposer à la musique contemporaine un public éloigné ou en rejet « politique » de ce courant ?

Les moyens :

  • mener une vingtaine d’entretiens utilisateurs avec 5 expérimentateurs sonores, 5 mélomanes experts, 5 grands non-initiés à la musique contemporaine, 5 mélomanes éclectiques (rock et classique).
  • mener un focus group avec des « fans » des répétitions publiques
  • interroger 3 experts dont un musicologue médiateur.
  • une enquête sociologique sur laquelle j’ai pris un recul critique : celle-ci n’évoquait pas certains tabous essentiels à la construction d’une stratégie.

Pourquoi ?

Notamment, pour comprendre les motivations suprêmes du public acquis et savoir quelles sont les motivations musicales des non-initiés.

Les enseignements tirés de la recherche utilisateurs et de l’entretien avec des experts :

  • la musique contemporaine est multiple : musique expérimentale, musique concrète, musique plasticienne et aussi la musique contemporaine institutionnalisée, soit la musique « écrite » défendue par l’OCX qui s’oppose à la musique sonore. Plus précisément la famille des notes qui s’oppose à la famille des sons.
  • le frein cognitif existe : la musique contemporaine et ses sons inhabituels peuvent être reçus avec perplexité. Mais le frein culturel est aussi à prendre en compte : la musique contemporaine est associée à la musique savante et à un certain élitisme qui peuvent éloigner certains auditeurs.
  • l’OCX s’est approprié le courant de la musique contemporaine alors que son corpus, son répertoire ne joue que des pièces de musique contemporaine écrite.
  • l’OCX ne programme pas de pièces musicales « mixtes » à la fois issues de la musique contemporaine institutionnalisée (soit la musique contemporaine écrite) et des musiques dites populaires (Rock, Noise, Punk…) ou de la musique des sonores.
  • les termes « musique contemporaine », « musique savante » font peur.
  • l’influence politique du fondateur de l’OCX dans les années 70 a été tellement forte qu’elle a inhibé les courants de la musique contemporaine qu’il n’estimait pas : la musique concrète, la musique sonore, la musique minimaliste…

Des persona phares et des solutions qui leur sont destinées :

  • la novice thématique pour qui créer un parcours sonore au cœur du parc de la Grande Scène Philharmonique en aval du premier concert.
  • le performer, spéléologue des sons pour qui créer une application de suggestions sonores liant la musique contemporaine aux musiques populaires ou plasticiennes qu’il écoute.
  • un grand événement, type concours, réunissant toutes les musiques contemporaines et les groupes de musique expérimentale, sonore, plasticienne.

Des préconisations qui répondent aux attentes des persona cibles – le performer, la novice – et qui n’éloignent pas les persona secondaires – le rebelle ircamien, la mélomane intrépide, les étudiants musicologues, le rocker studieux :

  • Nourrir autrement l’expression « musique contemporaine » en y introduisant tous les styles de musique contemporaine, notamment ceux issus des musiques populaires comme la Noise, le Punk, le Rock…
  • Tuer les guerres de chapelles entre les différents styles de musique contemporaine
  • Accorder une place fondamentale à la médiation
  • Montrer, démontrer, remontrer que la musique contemporaine n’est pas purement intellectuelle
  • Programmer des concerts courts
  • Tuer le rituel du concert sur certaines propositions
  • Accorder une place fondamentale à l’expérimentation et à l’interaction
  • Accueillir toutes les musiques et tous les sons
  • Collaborer avec les organisations culturelles avec lesquelles l’OCX est en lien : la Grande Scène Philharmonique belge et le parc où elle est installée

Créer des persona m’a permis d’avoir à disposition un outil efficace pour l’idéation. Également, cela m’a permis de communiquer à l’interne avec mes collaborateurs sur la démarche centrée utilisateurs. Enfin cela a été décisif pour échanger avec le client sur des tabous comme la représentation unilatérale de la musique contemporaine par l’OCX :  cet orchestre ne programme qu' »une facette » de la musique contemporaine, celle de la musique contemporaine écrite alors que la musique contemporaine est multiple, et que cette multiplicité est un levier idéal pour faire venir un nouveau public.

pdf de la présentation : DELAPORTE_PRES_20180927

Illustration des persona : Jeanne Le Ruz – http://jeannelr.tumblr.com/

Persona cibles :

 

 

 

 

Persona secondaires :