Comment bannir le systématisme des réunions dans les grandes organisations et créer des expériences de co-construction en intégrant les besoins humains ?

Équipe : Nour KHUJA, Designer de Service

Formation : DPDUX 2018 (Master 2) – Les Gobelins, l’école de l’image
Durée du projet : 8 mois

Contact : nour.khuja@edu.gobelins.fr

Pitch :

Avez-vous déjà entendu parler de la réunionite ?

C’est ce dont souffre un nombre incalculable de salariés dans les entreprises. Pourtant essentielle, la réunion c’est un peu comme un « Je t’aime – Moi non plus » au travail. Alors que si elles sont bien menées, elles peuvent s’avérer être d’une efficacité redoutable ! Il suffit simplement d’un peu de bon sens et surtout de communication et d’un zeste d’UX Design pour que la réunion devienne une expérience intéressante et enrichissante à vivre.

C’est ce que j’ai essayé de prouver au sein de la Société Générale lors de mon alternance par le biais d’un projet dont j’ai eu l’idée : hit !

J’y ai passé environ 8 mois pour pouvoir prouver à mes collègues que la réunion peut être un moment fun où l’on produit de belles choses plutôt qu’une perte de temps.

Ce mémoire est donc une lettre ouverte à la réunionite, qui s’est un peu trop installée confortablement au 35ème étage de la tour Granite.

PS : Elle a fini par commencer à faire ses valises !

 

Startup et Product-market fit : les méthodologies sont-elles réellement adaptées à toutes les startups ?

Équipe : Sarah Farnault, UX Designer
Formation : DPDUX 2018 (Master 2) – Les Gobelins, l’école de l’image
Durée du projet : 3 mois

Contact : hello@sarahfarnault.com | www.sarahfarnault.com

Dossier : (en attente de confirmation des personnes / entreprises interviewées)

Pitch :

Le succès d’une startup dépend de sa capacité à proposer un produit qui répond à un marché : le fameux product-market fit. Ce challenge n’est pas si simple lorsqu’on crée une entreprise à partir d’un concept ou d’une technologie innovante. Pourtant, c’est bien le prérequis indispensable pour convaincre des investisseurs lors d’une première levée de fonds. Ce premier tour de table signe le succès de la phase d’amorçage des startups.

Le Lean Startup et les méthodologies centrées utilisateurs comme le Design Thinking, et le Lean UX permettent d’accélérer la validation du product-market fit. Cependant, les co-fondateurs détiennent rarement ces expertises et le recours à des prestations extérieures sont souvent inadaptées en phase d’amorçage.

Ce mémoire entend apporter des clés de compréhension des challenges et des contraintes des startups et propose des solutions pour permettre aux startups en amorçage d’atteindre le product-market fit en prenant en compte leurs contraintes.

 

 

Comment réussir un produit user centric dans une organisation à contraintes importantes ?

 

 

 

Auteur : Julien PIVIN: UI / UX Designer
Formation : MC11 2018, Certification UX Design – Les Gobelins, l’école de l’image
Durée du mémoire : 4 mois
Dossier : UX2018_memoire_Julien_PIVIN

Pitch : Depuis plusieurs années maintenant, la conception centrée utilisateur fait parler d’elle. Les formations en UX design abordent les méthodes de conception centrées utilisateurs, les différents types de recherche.

Mais en pratique, comment cela se passe-t- il en dehors des agences UX, dans les grosses structures frileuses de changements et qui souhaitent amorcer un virage vers l’UX ? Comment la transformation s’opère-t-elle chez les fournisseurs de software ?

Ce mémoire tente d’analyser les freins et les accélérateurs à la conception centrée utilisateur, dans le but de réussir un produit dans une grosse entité organisationnelle..

Il semble que nous ayons du retard à rattraper par rapport à certains grands acteurs du marché digital mais certaines entreprises françaises commencent à s’organiser pour s’approprier ces méthodes.

Atouts et limites de l’UX Design pour exposer à un courant musical complexe

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Auteur : Juliette Delaporte – Chef de projet Éditorial, Conceptrice-rédactrice et UX Designer
Formation : MC11 2018, Certification UX Design – Les Gobelins, l’école de l’image
Durée du mémoire : 2 mois

Contact : juliette.delaporte@gmail.com

Pitch :                                                                                                                                                     Afin de respecter le souhait de confidentialité de mon commanditaire, certains éléments ont été modifiés, comme son nom et son lieu de résidence.

Atouts et limites de la démarche centrée utilisateurs pour exposer à un courant musical complexe                                                                                                       

Cas pratique d’un ensemble de musique contemporaine subventionné par l’état : l’Orchestre de musique contemporaine

J’ai découvert la démarche centrée utilisateurs lors de la formation « Conduite des projets digitaux » des Gobelins en 2016. Un coup de foudre, une révélation. Impossible de continuer sans. Les prochains projets numériques que je mènerai, seront UX ou ne seront pas.

Mon cheval de Troie pour introduire l’UX Design, la refonte du site de l’Orchestre de musique contemporaine (OCX), un orchestre constitué de 21 solistes virtuoses, résidant à la Grande Scène Philharmonique belge. Leur musique : le courant de la musique contemporaine.

L’idée :

Aller au-delà de l’actionnable de la refonte du site et créer, plus loin, des dispositifs facilitant l’accès à la musique contemporaine.

Qu’est-ce que la musique contemporaine ?

Une musique qui  se serait construite avec et contre la musique classique, mobilisant la formation orchestre de manière nouvelle, engendrant des sons, des musiques inhabituelles, qui « peuvent » dérouter l’auditeur non initié.

Le problème d’origine :

Le public de la musique contemporaine est vieillissant. Il ne se renouvelle pas.

La problématique « définie » suite à la recherche secondaire et à l’idéation : 

Comment exposer à la musique contemporaine un public éloigné ou en rejet « politique » de ce courant ?

Les moyens :

  • mener une vingtaine d’entretiens utilisateurs avec 5 expérimentateurs sonores, 5 mélomanes experts, 5 grands non-initiés à la musique contemporaine, 5 mélomanes éclectiques (rock et classique).
  • mener un focus group avec des « fans » des répétitions publiques
  • interroger 3 experts dont un musicologue médiateur.
  • une enquête sociologique sur laquelle j’ai pris un recul critique : celle-ci n’évoquait pas certains tabous essentiels à la construction d’une stratégie.

Pourquoi ?

Notamment, pour comprendre les motivations suprêmes du public acquis et savoir quelles sont les motivations musicales des non-initiés.

Les enseignements tirés de la recherche utilisateurs et de l’entretien avec des experts :

  • la musique contemporaine est multiple : musique expérimentale, musique concrète, musique plasticienne et aussi la musique contemporaine institutionnalisée, soit la musique « écrite » défendue par l’OCX qui s’oppose à la musique sonore. Plus précisément la famille des notes qui s’oppose à la famille des sons.
  • le frein cognitif existe : la musique contemporaine et ses sons inhabituels peuvent être reçus avec perplexité. Mais le frein culturel est aussi à prendre en compte : la musique contemporaine est associée à la musique savante et à un certain élitisme qui peuvent éloigner certains auditeurs.
  • l’OCX s’est approprié le courant de la musique contemporaine alors que son corpus, son répertoire ne joue que des pièces de musique contemporaine écrite.
  • l’OCX ne programme pas de pièces musicales « mixtes » à la fois issues de la musique contemporaine institutionnalisée (soit la musique contemporaine écrite) et des musiques dites populaires (Rock, Noise, Punk…) ou de la musique des sonores.
  • les termes « musique contemporaine », « musique savante » font peur.
  • l’influence politique du fondateur de l’OCX dans les années 70 a été tellement forte qu’elle a inhibé les courants de la musique contemporaine qu’il n’estimait pas : la musique concrète, la musique sonore, la musique minimaliste…

Des persona phares et des solutions qui leur sont destinées :

  • la novice thématique pour qui créer un parcours sonore au cœur du parc de la Grande Scène Philharmonique en aval du premier concert.
  • le performer, spéléologue des sons pour qui créer une application de suggestions sonores liant la musique contemporaine aux musiques populaires ou plasticiennes qu’il écoute.
  • un grand événement, type concours, réunissant toutes les musiques contemporaines et les groupes de musique expérimentale, sonore, plasticienne.

Des préconisations qui répondent aux attentes des persona cibles – le performer, la novice – et qui n’éloignent pas les persona secondaires – le rebelle ircamien, la mélomane intrépide, les étudiants musicologues, le rocker studieux :

  • Nourrir autrement l’expression « musique contemporaine » en y introduisant tous les styles de musique contemporaine, notamment ceux issus des musiques populaires comme la Noise, le Punk, le Rock…
  • Tuer les guerres de chapelles entre les différents styles de musique contemporaine
  • Accorder une place fondamentale à la médiation
  • Montrer, démontrer, remontrer que la musique contemporaine n’est pas purement intellectuelle
  • Programmer des concerts courts
  • Tuer le rituel du concert sur certaines propositions
  • Accorder une place fondamentale à l’expérimentation et à l’interaction
  • Accueillir toutes les musiques et tous les sons
  • Collaborer avec les organisations culturelles avec lesquelles l’OCX est en lien : la Grande Scène Philharmonique belge et le parc où elle est installée

Créer des persona m’a permis d’avoir à disposition un outil efficace pour l’idéation. Également, cela m’a permis de communiquer à l’interne avec mes collaborateurs sur la démarche centrée utilisateurs. Enfin cela a été décisif pour échanger avec le client sur des tabous comme la représentation unilatérale de la musique contemporaine par l’OCX :  cet orchestre ne programme qu' »une facette » de la musique contemporaine, celle de la musique contemporaine écrite alors que la musique contemporaine est multiple, et que cette multiplicité est un levier idéal pour faire venir un nouveau public.

pdf de la présentation : DELAPORTE_PRES_20180927

Illustration des persona : Jeanne Le Ruz – http://jeannelr.tumblr.com/

Persona cibles :

 

 

 

 

Persona secondaires :

L’apport de l’UX design dans la transformation de la relation visiteur/musée à travers la médiation

 

 

 

 

Auteur : Fanny MERCADAL – DA senior, UX/UI designer – KLEE GROUP
Formation : MC11 2018, Certification UX Design – Les Gobelins, l’école de l’image
Durée du mémoire : 4 mois
Dossier : UX2018_mémoire_MERCADAL_Fanny_Extrait

Pitch : 

Les musées n’ont cessés d’évoluer et de se transformer à travers les époques, des premières collections privées réservées aux élites aux musées publics, de la conservation des richesses à l’expérience visiteur.

Ces institutions connaissent aujourd’hui de profonds bouleversements : des subventions de l’états qui s’amoindrissent, une concurrence qui s’accroît, une nécessité de renouveler l’offre culturelle, d’acquérir et de fidéliser de nouveaux publics.

Des mutations profondes s’opèrent faisant passer le musée de l’institution à la marque avec une politique de fidélisation des publics. Dans cette logique de fidélisation, la médiation, la mise en relation entre les œuvres et le visiteur occupe aujourd’hui une place aussi importante que la conservation. De nombreux dispositifs de médiations voient le jour, ils sont souvent conçus en chambre à destination des visiteurs mais sans eux. La notion de phygital entre en jeu dans le domaine de la médiation des musées, dans l’optique de proposer aux visiteurs une expérience globale, et faire en sorte que le physique et le numérique se rejoignent. Est-ce que la médiation prend vraiment en compte les besoins des visiteurs ? Dans ce mémoire, deux experts du domaine apportent des réponses à cette question.

Comment transformer l’expérience de visite des Français grâce à la médiation ?

Pour répondre à cette problématique, j’ai mené une phase de recherche utilisateur, riche d’enseignements, avec de l’observation in situ et des entretiens de visiteurs. La modélisation des personas qui en découle et la cartographie de l’expérience de visite m’ont permis d’identifier les besoins et les freins que rencontrent les visiteurs. Enfin, l’atelier d’idéation qui a suivi à fait émergé des pistes de solutions adaptées aux attentes des utilisateurs.

De l’interface au service, quelle stratégie déployer au sein d’une ESN pour vendre du design de service ?

 

 

 

 

Auteur : Sébastien RIGOUSTE : Designer Lead
Formation : MC11 2018, Certification UX Design – Les Gobelins, l’école de l’image
Durée du mémoire : 4 mois
Dossier :UX2018_mémoire_RIGOUSTE_sébastien

Pitch : Smile est une Entreprise de Services du Numérique (ESN) dont l’Agence digitale est régulièrement sollicitée pour réaliser des interfaces de services. Dans le cadre de son développement, Smile va enrichir ses offres en proposant à ses clients du conseil et de l’innovation. Pourquoi ne pas saisir cette opportunité de monter d’un cran dans la chaîne de décision et proposer à nos clients du design de service ?

Après avoir étudié le marché du design de service en France et analysé l’avant-vente chez Smile, nous verrons la mise en pratique des enseignements de cette recherche dans le cadre d’une avant-vente, puis la mise en place d’un plan d’action visant à modifier le positionnement de l’Agence de Smile, améliorer les processus d’avant-vente, évangéliser en interne et faire monter en compétence les équipes de design.

 

Les défis à relever pour les laboratoires pharmaceutiques dans l’UX design

Autrice : Charlotte Taccón – UX Designer Renault Digital

Formation : MC11 2018, Certification UX Design – Les Gobelins, l’école de l’image

Durée du mémoire : 4 mois

Mémoire : UX2018_mémoire_TACCON_Charlotte

 

Pitch :

L’industrie pharmaceutique ne peut aujourd’hui se permettre de dispenser des messages ou des dispositifs sans inclure une réflexion sur ce qu’éprouvent les patients et leur entourage, sans comprendre leurs attentes, leurs besoins, les résistances à leur traitement, etc.

Concevoir un produit ou un service de santé exige une bonne connaissance des contraintes imposées par ce domaine. D’autant plus si le commanditaire est un laboratoire pharmaceutique. Un cadre légal très stricte, une recherche utilisateur délicate qui peut présenter de nombreux biais… le designer se doit d’aborder tout projet de santé en ayant conscience des éventuelles difficultés qui l’attendent.

Ce mémoire tente de lister ces différentes contraintes pour permettre une approche plus simple de sujets de santé.

Enjeux et impacts des notifications dans l’expérience utilisateur mobile

 

 

Auteur : Jérémie Letur – Product designer
Formation : MC11 2018, Certification UX Design – Les Gobelins, l’école de l’image
Durée du mémoire : 4 mois
Technologie : Application mobile
Dossier : UX2018_mémoire_LETUR_jeremie

Les notifications sont un atout clé pour les applications et peuvent se révéler particulièrement utiles pour les mobinautes : échanger avec ses proches, recevoir la bonne information au bon moment, obtenir le rappel d’un rendez-vous important, etc. Mais elles peuvent aussi s’avérer irritantes, en particulier lorsqu’elles sollicitent l’attention de l’utilisateur pour justifier l’ouverture d’une application à un moment inopportun ou pour des raisons non pertinentes pour lui.

Sur les nombreuses notifications reçues chaque jour, combien apportent réellement de la valeur à l’utilisateur ?

Voyons, dans ce mémoire, comment transformer cette fonctionnalité en un élément significatif de l’expérience mobile, en comprenant son usage et sa pratique. Nous en déduirons des règles de bonne pratique lors de la conception d’une notification, et proposerons des moyens de tester et évaluer l’impact des campagnes de notification auprès des utilisateurs.

Comment une agence de communication digitale peut-elle faire converger expérience de marque et expérience utilisateur ?

 

 

 

Auteur : Laure BOUCHER-HARDOUIN : UI / UX Designer
Formation : MC11 2018, Certification UX Design – Les Gobelins, l’école de l’image
Durée du mémoire : 4 mois
Dossier : UX2018_memoire_BOUCHER-HARDOUIN_Laure-extrait

Pitch : Dans un environnement totalement reconfiguré par la transformation numérique, les agences de communication digitale doivent se réinventer.

On ne parle plus maintenant de simplement concevoir un site, une campagne de publicité, au service de la marque, mais de créer de réelles expériences au service du client.

Cette révolution impose aux agences de se repenser, de changer profondément le mode de fonctionnement pour replacer l’utilisateur au cœur des projets, ce qui ne va pas sans quelques querelles de chapelles…

Le projet France BOISSONS aura été l’occasion d’éprouver un nouveau modèle avec un tandem Planneur Stratégique / UX designer pour tenter de concilier l’expérience de marque avec l’expérience utilisateur.

 

Comment améliorer la collaboration au sein d’une équipe pluridisciplinaire ?

 


Auteur :
Lucie NOËL : UI / UX Designer
Formation : MC11 2018, Certification UX Design – Les Gobelins, l’école de l’image
Durée du mémoire : 4 mois
Dossier : UX2018_mémoire_NOEL_Lucie

Pitch : Le design thinking au service de l’expérience collaborateur.

Le monde du travail est en pleine mutation, des changements sont notamment nécessaires dans les rapports qu’entretiennent les collaborateurs avec leur entreprise. En effet, nous constatons un fort désengagement des salariés vis-à-vis de leur entreprise. Les raisons sont multiples : des aspirations qui ne sont pas entendues, leur travail et leurs efforts qui ne sont pas reconnus à leur juste valeur, des transformations digitales et structurelles souvent mal vécues, ou encore une surcharge de travail et un tracking constant de leurs moindres faits et gestes…

En réponse à ces problèmes, des approches encourageant l’innovation, la créativité, l’expérimentation, de manière collective en replaçant l’humain au coeur de l’entreprise ont émergé, comme le design thinking. La démarche semble tout à fait adapté pour mener une transformation de manière collaborative et créative. En témoignent diverses expérimentations qui ont permis de véritables innovations.

Prendre connaissance de ces différents exemples pousse à se lancer et à expérimenter, j’ai donc décidé d’entreprendre cette démarche dans l’agence digitale où je travaille actuellement.

Comment améliorer la collaboration au sein d’une équipe pluridisciplinaire ? Pour répondre à cette problématique, j’ai appliqué les 5 phases du design thinking :

  • Explorer : connaître leur ressenti personnel concernant leur l’expérience au travail. J’ai pour cela conçu un journal de bord que l’ensemble de l’équipe a rempli durant deux semaines. Ensuite des entretiens individuels ont permis de creuser certains de leurs problèmes.
  • Cadrer : la matière récupérée lors de la phase d’exploration m’a permis de définir les problèmes puis de les partager avec toute l’équipe pour évoquer avec eux des pistes d’amélioration.
  • Imaginer & Expérimenter : j’ai organisé des ateliers collaboratifs qui ont permis de se focaliser sur certains problèmes identifiés, chacun a pu partager ses idées, nous en avons débattu et en avons fait émerger des solutions.
  • Tester : nous avons appliqué des solutionsimaginées et les avons affinées ensemble suite aux retours de chacun.

L’expérimentation est encore en cours mais j’ai pu confirmer que cette démarche est adaptée à l’élaboration d’une meilleure expérience collaborateur.

Les designers ont un rôle important à jouer dans la conception d’une meilleure expérience collaborateur et plus encore dans le futur des organisations où il y a beaucoup de place pour l’innovation.